EHPAD Le Menhir (Groupe ACPPA)

"Après avoir mis un avis très favoranle au début que ma grand mère soit rentrée au Menhir, ma famille et moi même avons été très déçu à la fin. Son état de santé s est dégradée très vite, les infirmières très compétentes et les aides soignantes sont très humaines et patientes. Et disponibles. Le bilan avec la psychologue n' a servit à rien sur les objectifs déterminés par elle. Aucun suivi. Le jour de son décès le directeur qui m a remis l' acte de décès m'a dit bon courage ... Les enfants qui étaient juste au bout du couloir n' ont pas eu le droit à un seul mot de sa part. Il a tourné le dos et est parti. Je trouve ça inadmissible. La cadre de vie, un fantôme... Tant que les résidents sont là pour payer on a le droit au bonjour, comment ça va, à toutes les attentions. Le résident n'étant plus là, on s en fiche de la famille qui traverse une épreuve difficile. Seule Rachelle à l accueil a été très pro. Business businesses....pour la direction. Quelle tristesse."

"Ma mère a passé toute l’année 2024 à l’EHPAD Le Menhir de Cergy. Un peu de caractérisation, d’abord. Ma mère a 98 ans. Elle n’est pas Alzheimer, mais elle n’a plus beaucoup de mémoire à court terme. Elle a une DMLA sévère, ce dont les aides-soignantes ne tenaient pas compte (jusqu’à récemment, ce n’était même pas signalé dans son dossier médical !). Elle a des prothèses auditives mais ni ma mère ni les aides-soignantes ne les chargeaient correctement. De la part d’une femme de 97 ans, on peut comprendre que ce soit compliqué. De la part de gens dont c’est le métier... Enfin, ma mère est pudique et déteste être bousculée. Jusqu’à son entrée au Menhir, elle vivait chez elle et faisait sa toilette toute seule. Elle a continué à faire sa toilette au début de son séjour au Menhir. Et puis, commençant à avoir des difficultés, il est devenu évident qu’elle avait besoin d’aide pour sa toilette. Sauf qu’elle se montrait assez agressive vis-à-vis des aides-soignantes qui la bousculaient. Un gériatre extérieur au Menhir a fait un bilan. Il a préconisé en priorité de l’humanitude. Et, en deuxième, un calmant. Aussitôt, les responsables médicaux du Menhir (probablement conscients que l’humanitude est un vain mot chez eux) ont administré à ma mère de la Dépakine. Pourquoi un antiépileptique ? Mystère. Il y a de meilleur anxyolitique que la Dépakine quand on veut assommer quelqu’un. En outre, une aide-soignante a démontré maintes fois qu’en faisant preuve de patience et de douceur, on pouvait aider ma mère à faire sa toilette sans camisole chimique. Mais cette aide-soignante est l’exception qui confirme la règle, au Menhir. Plusieurs fois, ma sœur et moi sommes allés rendre visite à notre mère et l’avons trouvée dans un état dégradant. Pas habillée, shootée, la chemise de nuit tachée d’excréments. Un jour, en plein milieu d’après-midi, je l’ai trouvée recroquevillée sur son lit, quasiment nue, et baignant dans son urine. On ne lui avait pas mis de couche (économie oblige) et personne ne l'avait aidée depuis des heures. Quand j’ai signalé ce spectacle inhumain à une aide-soignante, elle m’a répondu : Nous nous sommes mises à quatre pour habiller votre mère, ce matin. Elle était agitée. Depuis, elle s’est déshabillée toute seule. En bref, tout est de la faute de ma mère. Dix jours avant cette situation indigne, ma mère s’était cassée le col du fémur (peut-être en partie à cause de la Dépakine, dont la perte d'équilibre est l'un des effets secondaires). Ma mère était donc en convalescence et ne tenait pas sur ses jambes. Mais, comme il n’y avait pas de vêtements à ses pieds, j’en ai conclu qu’elle avait réussi non seulement à se déshabiller mais en plus à plier ses vêtements et à les ranger dans l’armoire. Ben voyons ! C’est pratique de faire mentir une résidente qui n’a plus toute sa mémoire à court terme. Elle ne viendra pas vous contredire. J’ai signalé l’incident au directeur du Menhir et à la cadre de santé. Au lieu de faire preuve d’empathie, au lieu de me dire qu’il comprenait notre désarroi, le directeur m’a répondu en gestionnaire froid, a aligné des commentaires techniques et des ouvertures de parapluie, et a tenté laborieusement de retourner la responsabilité sur ma mère. En gros, la vraie victime de cette affaire, c’était Le Menhir ! Et, en plus, aucune suggestion pour améliorer les choses. La psychologue du Menhir m’a proposé plusieurs fois de venir lui parler, au cas où nous aurions des difficultés. Je pense que la direction du Menhir a plus besoin de s’allonger sur le divan de sa psychologue que nous. En résumé, une accumulation d’indignités et d’incompétences à tous les niveaux (à l’exception, encore une fois, d’une aide-soignante qui sait ce qu’est l’humanitude). Mon frère, ma sœur et moi avons décidé de sortir notre mère de cette maison de maltraite, et l’avons placée ailleurs."

"Cet établissement a un personnel aux petits soins avec les résidents. Il est super propre et les repas sont bons et copieux. Je recommande sans hésitation."

"Merci à tout le personnel du MENHIR. Notre mère y a passé un séjour bien trop court malheureusement mais l'ensemble des personnes qui se sont occupées d'Elle ont montré beaucoup de bienveillance et un grand professionnalisme. Tout le monde a fait preuve d'une grande empathie. Notre mère qui avait choisi votre établissement ne tarissait pas d'éloge sur son quotidien. Continuez à vous occupez comme cela de nos aînés ! Merci à vous tous"

"Le site est très bien situé et en bon état Cependant la gestion administrative n'est pas bonne du tout Plusieurs cas - Résidente malade et transférée a l'hôpital mais personne ne sait où exactement ni quand et par qui et ne prévient pas de son transfert Ce qui est arrivé plusieurs fois - Aucun retour de la part de la direction - Et le pire de tout, résidente qui décède le lundi soir, l'Ephad ne prévient pas la famille, Apprendre son décès par mail le mercredi matin par une personne en dehors de l'Ephad Si vous souhaitez égaré un de vos proches et de ne pas savoir si la personne est toujours vivante Je conseille ce lieux"

"Aujourd'hui, j'ai malheureusement vécu une expérience déplaisante à l'EPHAD de Cergy. Je suis profondément déçu par l'attitude de la directrice à mon égard. Son comportement irrespectueux et condescendant m'a fait sentir complètement dévalorisé et considéré comme un bon à rien. En tant que visiteur, je m'attendais à être traité avec dignité et respect dans un environnement qui se veut accueillant et bienveillant. Malheureusement, la directrice a choisi d'adopter une attitude méprisante et désobligeante, ce qui a grandement entaché mon expérience dans cet établissement. Il est essentiel que les responsables d'une institution telle qu'un EPHAD soient exemplaires dans leur manière de communiquer et d'interagir avec les résidents et leurs proches. Malheureusement, la directrice de cet établissement a clairement manqué à cette responsabilité, laissant transparaître un manque flagrant d'empathie et de professionnalisme. J'espère sincèrement que des mesures seront prises pour remédier à cette situation, afin que les résidents et leurs familles puissent bénéficier d'un environnement respectueux et chaleureux. Il est crucial que les personnes chargées de diriger un établissement destiné aux personnes âgées fassent preuve de compassion et de courtoisie envers ceux qu'ils sont censés aider et soutenir."

"Un établissement que je conseil fortement, mes deux grands-mères y ont séjourné pour leurs derniers jours, elles y étaient bien, c’est tout ce qui comptait pour moi. La nourriture est très correcte et satisfait largement les aînés (ainsi que les plus jeunes). L’équipe soignante et l’équipe de direction est très à l’écoute des résidents et des familles. J’y ai rencontré des personnes formidables. Respect et bienveillance sont les maîtres mots."

"Un personnel professionnel, merci à Rachel qui est accueillante et rassurante au téléphone en cette période de crise. Chantal"